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Voltige : la passion de Vincent Poulain

Voltigeur depuis l’âge de sept ans, Vincent Poulain vit sa passion. Malgré les contraintes et les obstacles, il atteint son objectif. Né à Toulouse, Vincent Poulain débute l’équitation en Charente. C’est là qu’il se découvre une passion : la voltige. Il y prend goût et progresse rapidement. Puis une rencontre avec Jacques Ferrari, lors d’un spectacle, bouscule sa vie.En huit jours, le jeune adolescent de 13 ans trouve un collège, quitte sa famille pour rejoindre l’école de voltige de Sandra Tronchet en Vendée, sa seconde maman. Il vit alors pleinement son projet.Actuellement, en bac pro conduite et gestion d’entreprises hippiques, Vincent peut une semaine sur deux, monter à cheval, voltiger et travailler au sol, la gymnastique et la musculation.Quatrième des championnats de France amateur 1, Vincent compte bien cette saison être régulier pour prétendre passer en 2015 en amateur élite.Les répétitions pour Noroc, le spectacle monté par Jacques Ferrari et le travail du libre par équipe l’empêchent de prendre du temps pour travailler son programme libre individuel en vue de la prochaine saison. « J’ai trois mois pour monter mon nouveau libre. Il sera assez inattendu compte tenu du personnage que je souhaite incarner. Il me reste la musique à trouver. Sinon j’ai le programme dans ma tête ».« Travailler avec Jacques Ferrari et Nicolas Andéani est une expérience exceptionnelle ». Le jeune athlète en a conscience et apprécie. Mais il reste lucide aussi sur sa carrière individuelle. « J’aurais aimé faire une carrière comme Nicolas. Mais je n’ai pas toutes les possibilités pour. Et de ne pas être au pôle France ne facilite pas les choses ». Sa non-sélection pour les derniers Europe n’est pas juste. Car on le lui avait certifié. Mais il a passé l’éponge. Il pense à l’avenir. Alors, il met l’accent sur la compétition par équipe. Lucide et droit, Vincent prend les occasions proposées comme de réelles opportunités. C’est pour cela qu’il sera présent sur les Jeux Equestres Mondiaux de 2014 en Normandie, non pas comme compétiteur mais, sans doute, comme groom pour une équipe étrangère.

Voltigeur depuis l’âge de sept ans, Vincent Poulain vit sa passion. Malgré les contraintes et les obstacles, il atteint son objectif.

Né à Toulouse, Vincent Poulain débute l’équitation en Charente. C’est là qu’il se découvre une passion : la voltige. Il y prend goût et progresse rapidement. Puis une rencontre avec Jacques Ferrari, lors d’un spectacle, bouscule sa vie.
En huit jours, le jeune adolescent de 13 ans trouve un collège, quitte sa famille pour rejoindre l’école de voltige de Sandra Tronchet en Vendée, sa seconde maman. Il vit alors pleinement son projet.
Actuellement, en bac pro conduite et gestion d’entreprises hippiques, Vincent peut une semaine sur deux, monter à cheval, voltiger et travailler au sol, la gymnastique et la musculation.
Quatrième des championnats de France amateur 1, Vincent compte bien cette saison être régulier pour prétendre passer en 2015 en amateur élite.
Les répétitions pour Noroc, le spectacle monté par Jacques Ferrari et le travail du libre par équipe l’empêchent de prendre du temps pour travailler son programme libre individuel en vue de la prochaine saison. « J’ai trois mois pour monter mon nouveau libre. Il sera assez inattendu compte tenu du personnage que je souhaite incarner. Il me reste la musique à trouver. Sinon j’ai le programme dans ma tête ».
« Travailler avec Jacques Ferrari et Nicolas Andéani est une expérience exceptionnelle ». Le jeune athlète en a conscience et apprécie. Mais il reste lucide aussi sur sa carrière individuelle. « J’aurais aimé faire une carrière comme Nicolas. Mais je n’ai pas toutes les possibilités pour. Et de ne pas être au pôle France ne facilite pas les choses ». Sa non-sélection pour les derniers Europe n’est pas juste. Car on le lui avait certifié. Mais il a passé l’éponge. Il pense à l’avenir. Alors, il met l’accent sur la compétition par équipe. Lucide et droit, Vincent prend les occasions proposées comme de réelles opportunités. C’est pour cela qu’il sera présent sur les Jeux Equestres Mondiaux de 2014 en Normandie, non pas comme compétiteur mais, sans doute, comme groom pour une équipe étrangère.

23/01/2014

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