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Le Haras de Saint-Fray, un centre d’élevage de qualité

Situé à une dizaine de kilomètre du Mans, à La Chapelle-Saint-Fray, le Haras de Saint-Fray  est un havre de paix. Avec près de 40 hectares de prairies, des forêts et des chemins dediés à la balade, ce coin de verdure accueille 75 chevaux et se concentre sur l’élevage de chevaux de sport et à leur valorisation en compétitions. Depuis 2005, le Haras de Saint-Fray se développe et ne cesse de penser élevage et génétique. « J’ai eu mon premier cheval il y a 27 ans. Et c’était une jument qui était pleine. J’ai vendu, par la suite, le poulain et j’ai acheté une seconde poulinière. Puis l’histoire du haras est née, comme cela. J’ai toujours souhaité faire de l’élevage mais avec de la bonne génétique » confiait Catherine Savare, la propriétaire.C’est pour cela que l’on retrouve dans les boxes des écuries des poulinières aux ascendants très connus. Comme Imoa du Murier, cousine de Dollar du Murier, cheval champion du monde avec Eric Navet, des filles de Galoubet A, de Quidam de Revel ou de Papillon Rouge, et aussi la petite-fille de Weihaweig, double championne du monde en 1984 avec F. Slootak.Des chevaux qui ont fait les beaux jours des cavaliers tricolores et qui ont permis d’offrir de nombreuses médailles en concours internationaux et en championnats.Des juments de qualité qui, de fait, produisent des poulains à fort potentiel. Comme Tokyo de Saint-Fray. «  Je me souviens, il n’avait que trois jours et déjà  nous avions dû lui mettre un licol car il ne suivait pas sa mère. Il était très autonome. Il avait de la présence et de l’allure la force » explique Catherine.Quelques années plus tard, il était repéré et acheté par l’ancien numéro un mondial, l’Allemand Christian Ahlmann pour ses qualités exceptionnelles. Le cavalier Outre-Rhin le sortit peu à quatre ans et cinq ans pour le préserver. L’année passée, il fit les  épreuves 6 ans à Lanaken et sur l’étape du Global Champion Tour de Chantilly.Un cheval qui fait la notoriété des écuries mais dont ne se sert pas assez l’éleveuse pour faire la promotion des lieux. Avec une dizaine de naissances par an, un manège, une carrière, tout est fait pour que les futurs cracks soient bien formés, bien nourris, bien dans leur tête. C’est le bouche à oreille qui fait le commerce. Et les anciens acquéreurs quelques années après avoir acheté un cheval, n’hésitent pas à revenir pour réinvestir. Preuve de satisfaction.Le Haras de Saint-Fray est un centre d’insémination agréé. Grenat de Grez, champion de France à 6 et 7 ans, puis vainqueur d’épreuves internationales à 8 ans, un des meilleurs étalons de sa génération, père de nombreux produits indicés plus de 140 et Udson de Saint-Fray, fils de  Diamant de Semilly font la monte.Le centre d’insémination peut inséminer les juments de clients en IAC, IART ou IAF. Les échographies sont réalisées par un vétérinaire spécialisé. « Une équipe qui fonctionne bien : l’année dernière, nous avions 100% de juments pleines ».« On s’attache à tous nos poulains. Car on a réfléchi à leur conception. On essaie de faire les meilleurs croisements possibles pour donner des produits très séduisants. Ceux recherchés en saut d’obstacles, discipline que l’on connaît bien ».Passionnée par son activité, Catherine s’est entourée de Gwénolé Le Guen pour le travail de valorisation au quotidien. Le Breton, ancien cavalier chez Roger-Yves Bost, développe ainsi une écurie de propriétaires permettant de répondre aux demandes de pensions chevaux et poney.Un Haras au potentiel fort qui anticipe et se developpe avec maitrise pour répondre aux attentes de tous. Renseignement : contact@haras-de-saint-fray.com -  06 80 06 87 33. Publi-info

Situé à une dizaine de kilomètre du Mans, à La Chapelle-Saint-Fray, le Haras de Saint-Fray  est un havre de paix. Avec près de 40 hectares de prairies, des forêts et des chemins dediés à la balade, ce coin de verdure accueille 75 chevaux et se concentre sur l’élevage de chevaux de sport et à leur valorisation en compétitions.

Depuis 2005, le Haras de Saint-Fray se développe et ne cesse de penser élevage et génétique. « J’ai eu mon premier cheval il y a 27 ans. Et c’était une jument qui était pleine. J’ai vendu, par la suite, le poulain et j’ai acheté une seconde poulinière. Puis l’histoire du haras est née, comme cela. J’ai toujours souhaité faire de l’élevage mais avec de la bonne génétique » confiait Catherine Savare, la propriétaire.
C’est pour cela que l’on retrouve dans les boxes des écuries des poulinières aux ascendants très connus. Comme Imoa du Murier, cousine de Dollar du Murier, cheval champion du monde avec Eric Navet, des filles de Galoubet A, de Quidam de Revel ou de Papillon Rouge, et aussi la petite-fille de Weihaweig, double championne du monde en 1984 avec F. Slootak.
Des chevaux qui ont fait les beaux jours des cavaliers tricolores et qui ont permis d’offrir de nombreuses médailles en concours internationaux et en championnats.
Des juments de qualité qui, de fait, produisent des poulains à fort potentiel. Comme Tokyo de Saint-Fray. «  Je me souviens, il n’avait que trois jours et déjà  nous avions dû lui mettre un licol car il ne suivait pas sa mère. Il était très autonome. Il avait de la présence et de l’allure la force » explique Catherine.
Quelques années plus tard, il était repéré et acheté par l’ancien numéro un mondial, l’Allemand Christian Ahlmann pour ses qualités exceptionnelles. Le cavalier Outre-Rhin le sortit peu à quatre ans et cinq ans pour le préserver. L’année passée, il fit les  épreuves 6 ans à Lanaken et sur l’étape du Global Champion Tour de Chantilly.
Un cheval qui fait la notoriété des écuries mais dont ne se sert pas assez l’éleveuse pour faire la promotion des lieux. Avec une dizaine de naissances par an, un manège, une carrière, tout est fait pour que les futurs cracks soient bien formés, bien nourris, bien dans leur tête. C’est le bouche à oreille qui fait le commerce. Et les anciens acquéreurs quelques années après avoir acheté un cheval, n’hésitent pas à revenir pour réinvestir. Preuve de satisfaction.
Le Haras de Saint-Fray est un centre d’insémination agréé. Grenat de Grez, champion de France à 6 et 7 ans, puis vainqueur d’épreuves internationales à 8 ans, un des meilleurs étalons de sa génération, père de nombreux produits indicés plus de 140 et Udson de Saint-Fray, fils de  Diamant de Semilly font la monte.
Le centre d’insémination peut inséminer les juments de clients en IAC, IART ou IAF. Les échographies sont réalisées par un vétérinaire spécialisé. « Une équipe qui fonctionne bien : l’année dernière, nous avions 100% de juments pleines ».
« On s’attache à tous nos poulains. Car on a réfléchi à leur conception. On essaie de faire les meilleurs croisements possibles pour donner des produits très séduisants. Ceux recherchés en saut d’obstacles, discipline que l’on connaît bien ».
Passionnée par son activité, Catherine s’est entourée de Gwénolé Le Guen pour le travail de valorisation au quotidien. Le Breton, ancien cavalier chez Roger-Yves Bost, développe ainsi une écurie de propriétaires permettant de répondre aux demandes de pensions chevaux et poney.
Un Haras au potentiel fort qui anticipe et se developpe avec maitrise pour répondre aux attentes de tous.

Renseignement : contact@haras-de-saint-fray.com -  06 80 06 87 33.

Publi-info

20/03/2014

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