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Décès de Marie-Odile Debonnet

Carnet L’annonce du décès de Marie-Odile Debonnet a provoqué  une immense tristesse chez les gens de chevaux. Emportée par un cancer foudroyant, Marie-Odile, âgée de 55 ans, élevait les chevaux à l’affixe « de la Loge » au château de Bougon dans le pays nantais. Un élevage réputé, débuté avec professionnalisme par ses parents, Nicole et Louis Fayolle. Marie-Odile a toujours vécu autour des chevaux : de courses, de complet puis de saut d’obstacles, cavalière et éleveuse avec le succès qu’on lui connaît.  « Collectivement, la disparition de Marie c’est, pour le monde du cheval, la disparition d’une éleveuse de grand renom très largement impliquée dans notre association avec un caractère bien trempé mais une vraie générosité, s’exprimait Pascal Vivien, président de l’ACS44 à l’annonce de la triste nouvelle.  A titre personnel je perds aujourd’hui une amie très chère qui depuis près de 20 ans n’a eu de cesse de me faire partager sa passion et son respect des chevaux. Je lui dois en très grande part tout ce que je sais aujourd’hui et mon engagement, parmi vous, au sein de l’ACS ». Ainsi se terminait son hommage. La cérémonie religieuse a eu lieu le samedi 11 janvier en l’église de Couffe (44). Notre journal assure ses parents, son époux, ses quatre enfants et toute sa famille de sa sympathie attristée. E. R.

Carnet

L’annonce du décès de Marie-Odile Debonnet a provoqué  une immense tristesse chez les gens de chevaux. Emportée par un cancer foudroyant, Marie-Odile, âgée de 55 ans, élevait les chevaux à l’affixe « de la Loge » au château de Bougon dans le pays nantais. Un élevage réputé, débuté avec professionnalisme par ses parents, Nicole et Louis Fayolle. Marie-Odile a toujours vécu autour des chevaux : de courses, de complet puis de saut d’obstacles, cavalière et éleveuse avec le succès qu’on lui connaît. 

« Collectivement, la disparition de Marie c’est, pour le monde du cheval, la disparition d’une éleveuse de grand renom très largement impliquée dans notre association avec un caractère bien trempé mais une vraie générosité, s’exprimait Pascal Vivien, président de l’ACS44 à l’annonce de la triste nouvelle. 

A titre personnel je perds aujourd’hui une amie très chère qui depuis près de 20 ans n’a eu de cesse de me faire partager sa passion et son respect des chevaux. Je lui dois en très grande part tout ce que je sais aujourd’hui et mon engagement, parmi vous, au sein de l’ACS ». Ainsi se terminait son hommage.

La cérémonie religieuse a eu lieu le samedi 11 janvier en l’église de Couffe (44). Notre journal assure ses parents, son époux, ses quatre enfants et toute sa famille de sa sympathie attristée.

E. R.

23/01/2014

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