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Émilie Martin : « Une groom de star »

Portrait Après un break, Emilie Martin a repris depuis un an le chemin des concours et des paddocks en s’occupant des chevaux de Guillaume Canet. La Sarthoise revient sur sa nouvelle vie. Émilie Martin a toujours travaillé dans le monde de l’équitation. Groom d’Hubert Bourdy et de Jean-Maurice Bonneau, elle rejoint en 95, les écuries de Patrice Delaveau. Durant trois ans, elle posera ses malles sur les terrains de concours les plus prestigieux comme celui des JO d’Atlanta. Puis, elle rejoint en 98 les écuries du haras des M. Et travaille avec Reynald Angot. Là encore, elle vivra des moments inoubliables. Le championnat du Monde de Jerez de la Frontera en 2002 et le championnat d’Europe en 2003 et le titre de vice-champion. « Des souvenirs, des images auxquels je pense tous les jours » confiait Emilie.Cette vie, Emilie l’a laissée de côté pour sa famille. « J’ai arrêté et je ne souhaite pas recommencer à ce rythme. Le dimanche soir, j’ai envie de rentrer chez moi » Alors Emilie a trouvé un bon compromis. En groomant les chevaux de Guillaume Canet. « Le fait de se déplacer, les concours et surtout les chevaux me manquaient. Partir un week-end par mois me va très bien ».Surtout que parmi les trois chevaux à groomer, Emilie retrouve Padiska de Mars. La fille de Tlaloc M (Dollar de la Pierre) et de Danae de la Violle. Deux chevaux qu’elle a groomés. « J’ai pleuré quand Guillaume a remporté sa première épreuve à Cannes avec elle. C’est une jument de vitesse et elle a le même caractère que sa mère ».« L’année prochaine, Guillaume souhaite faire plus de concours. Car il a l’objectif en fin de saison, de courir un championnat de France ». Alors Emilie sera des déplacements. Car le réalisateur ne peut se passer de sa complice. S. P.

Portrait

Après un break, Emilie Martin a repris depuis un an le chemin des concours et des paddocks en s’occupant des chevaux de Guillaume Canet. La Sarthoise revient sur sa nouvelle vie.

Émilie Martin a toujours travaillé dans le monde de l’équitation. Groom d’Hubert Bourdy et de Jean-Maurice Bonneau, elle rejoint en 95, les écuries de Patrice Delaveau. Durant trois ans, elle posera ses malles sur les terrains de concours les plus prestigieux comme celui des JO d’Atlanta. Puis, elle rejoint en 98 les écuries du haras des M. Et travaille avec Reynald Angot. Là encore, elle vivra des moments inoubliables. Le championnat du Monde de Jerez de la Frontera en 2002 et le championnat d’Europe en 2003 et le titre de vice-champion. « Des souvenirs, des images auxquels je pense tous les jours » confiait Emilie.
Cette vie, Emilie l’a laissée de côté pour sa famille. « J’ai arrêté et je ne souhaite pas recommencer à ce rythme. Le dimanche soir, j’ai envie de rentrer chez moi » Alors Emilie a trouvé un bon compromis. En groomant les chevaux de Guillaume Canet. « Le fait de se déplacer, les concours et surtout les chevaux me manquaient. Partir un week-end par mois me va très bien ».
Surtout que parmi les trois chevaux à groomer, Emilie retrouve Padiska de Mars. La fille de Tlaloc M (Dollar de la Pierre) et de Danae de la Violle. Deux chevaux qu’elle a groomés. « J’ai pleuré quand Guillaume a remporté sa première épreuve à Cannes avec elle. C’est une jument de vitesse et elle a le même caractère que sa mère ».
« L’année prochaine, Guillaume souhaite faire plus de concours. Car il a l’objectif en fin de saison, de courir un championnat de France ». Alors Emilie sera des déplacements. Car le réalisateur ne peut se passer de sa complice.

S. P.

28/11/2013

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