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Toulouse : début des cycles classiques

Cycles Classiques Toulouse (31) 13-14 avril Le début de saison des concours cycles classiques a tout juste commencé en Midi-Pyrénées. L’école vétérinaire de Toulouse a ouvert le bal en accueillant, les 13 et 14 avril, quelques 180 jeunes chevaux. Cavaliers et propriétaires attendaient
avec impatience ce rendez-vous qui était le premier pour beaucoup. En effet, la semaine précédente, était organisée la même manifestation à Tarbes, mais cette dernière n’a malheureusement pas attiré beaucoup de monde. L’école véto, elle, a fait le plein. 49 partants dans la première manche de l’épreuve réservée aux 4 ans et 45 pour la seconde. 17 couples viendront à bout du 1er tour et 10 seulement du second, soit un taux de réussite respectivement de 34,7 % et 24,4%. Les parcours imaginés par Bertrand de Montfort ont en effet posé quelques soucis aux couples. Des statistiques revues à la hausse chez les 5 ans B avec 44 % de sans- faute en première manche et 47,7 % à l’issue de la deuxième journée. Dans cette catégorie, on notera la régularité des produits de Flipper d’Elle (Double Espoir/ Pavlova des Malais par Jalisco B) puisque 4 demeurent double sans-faute.

Résultats à peu près similaires pour les 5 ans A : 12 parcours sans pénalité sur 33 partants le mardi, et 15 sur 32 le lendemain. Le pourcentage de réussite chez les 6 ans B avoisine les 38 % sur le premier parcours et 36 % après le second tour. Quant aux plus expérimentés, les 6 ans A, seuls Qahira de Domerguie (Geriko du Quercus/ Thaour des Bois), Quookies au Seigneur (Sable Rose/ Fidji d’Eparvis) et Enrico Van Het Slagershof se distinguent en réalisant un sans-faute en première manche parmi les 13 chevaux au départ. Dans l’épreuve au chrono, le cavalier girondin, Philippe Wolff, assure son parcours avec Quarina de Blondel (Quidam de Revel/ Medina de Boissy). Une bonne stratégie puisqu’il sera le seul à boucler son tour sans incident et gagnera ainsi la manche. Aucun double sans-faute donc dans l’épreuve 6 ans A mais du beau spectacle pour autant.
29/04/2010

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