Vite lu-Vite su

Jean-Philippe Bernard nous a quittés


C’est avec tristesse que nous avons appris en ce lundi de Pentecôte, la disparition soudaine de Jean-Philippe Bernard, cavalier passionné et devenu récemment officiel de la compétition dans la région. En décembre dernier, il avait mené une action fervente en faveur de la horde du Loiret dans le cadre du dossier sensible de l’équitaxe. « Jean-Philippe restera ce compagnon d’armes sur lequel nous pouvions compter » souligne le président du CRE.


Notre amical soutien à la famille et à ses proches.


Le CCI de Lignières n’aura pas lieu


Une récente réunion de bureau de l’Association Compet Vallée de l’Arnon a mis en évidence l’impossibilité de réaliser l’édition 2014 du CCI 1* et 2* prévu en octobre prochain. « Nous espérons pouvoir assumer une nouvelle édition dès l’an prochain » expliquent Gilles Chanteloube et Emmanuel Lagarde. « En effet, la concertation avec le Conseil Général (propriétaire du Pôle du cheval et de l’âne) devrait porter ses fruits pour aplanir les difficultés rencontrées sur les lieux ».


Scène internationale Dressage


Trois cavaliers Junior ont bien tiré leur épingle du jeu lors du CDI de Compiègne à la fin mai. C’est une excellente performance pour Claire Berland (Ecurie de Bechereau, 45 - entraîneur Remy Issartel) 2e avec Armani à 71,583 % dans la RLM et 4e avec 68,553 dans l’individuel. Les juniors Portejoie (Ecurie de l’Aubois, 18 - entraîneur Franck Portejoie) se suivent aux 10e (68,166) et 11e (68,000) places avec avantage à Lana et Pik Flower sur Mathis et Aristo W dans la RLM. Pour l’épreuve individuelle, Mathis est cette fois 9e avec 68,243 et Lana 10e avec 66,667.


HN de Blois, compromis signé


La fin mai a vu la signature d’un compromis de vente (signature définitive probablement en novembre prochain) entre l’IFCE et la société SPII (société de promotion immobilière et d’investissement) dirigée par deux Blésois, Stéphane Chéné et Guillaume Pautout pour la somme de 2,2 M€, qui représente le seuil prévu par le service des domaines afin d’accélérer la cession. En effet, l’IFCE ne voulait plus poursuivre la consultation d’autres acheteurs afin de mettre fin à la situation délicate alors que l’Etat a besoin de remplir ses caisses. Sur place, un projet d’hôtel de charme est à l’ordre du jour avec la réhabilitation des huit maisons implantées sur le site et une partie des anciennes écuries réservée à des salles de séminaires, le tout en préservant les parties classées à l’inventaire du patrimoine.