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Nicolas Blondeau auprès des Enseignants

Le début de l'année est souvent réservé aux stages et présentations, tous domaines et disciplines confondues. A la Grenadière (37) et à l'instar de Jean-François de Mieulle, l'école Blondeau diffusait aux intéressés (dirigeants, enseignants, élèves en formation), le 6 janvier dernier, son programme concernant « L'homme de cheval dans l'enseignement ». Photo 1 sur 1
  Une journée enrichissante pour la quarantaine de personnes présentes, qui avaient souvent déjà goûté aux préceptes de la méthode et venaient chercher ici plus amples informations.

Nicolas Blondeau était épaulé sur place par Laurent Mézailles et Bruno Perrin, deux BEES qui animent des stages de travail selon la méthode ou encore des stages d'équitation éthologique dans tout l'Hexagone. Comme l'expliquait Nicolas Blondeau : « A pied, je suis déjà à cheval et je sais ce que je vais entreprendre. Une fois en selle, je me remémore tout ce que j'ai inculqué à pied ». (L'école Blondeau accueille environ 200 chevaux par an lors de débourrage ou remise en confiance). Nicolas Blondeau démontra cette une fois encore les vertus d'un apprentissage bien mené selon des gestes et des procédures utiles à toute équitation, transmissible à tous les chevaux, à la portée de tous et très intéressante pour les enseignants qui souhaitent s'afférer dans des conditions sereines et sécuritaires.

L'école Blondeau met le phare aujourd'hui sur ses modules de formation (voir auprès de l'Ecole les modalités de prise en charge de la formation par le Fafsea pour les salariés et le Vivea pour les exploitants) destinés aux enseignants d'équitation. Manipuler un jeune cheval; travailler un jeune cheval; travailler un cheval à pied; présenter à pied et monté; enseigner le travail à pied et monté à ses élèves en sont les thèmes où la notion de sécurité prime. Nicolas Blondeau tient aujourd'hui à faire passer le message auprès des centres équestres : « Retrouver les fondamentaux, s'approprier les gestes justes et utiles, c'est s'assurer une transmission solide et pouvoir assurer aux élèves un moment de vie à cheval ». Place à cet état d'esprit et au travail quotidien d'homme de cheval.

Catherine Roux
20/01/2011

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