- Toute l’actualité du cheval et des sports équestres

Baisse des aides: « Une bonne nouvelle » pour l'ANEPCP

 « La Fédération Nationale des Éleveurs Professionnels d’équidés se réjouit que l’état Français daigne enfin se préoccuper de la filière cheval. Il était urgent et indispensable que l’Etat français arrête cette gabegie en distribuant à tout va l'argent des contribuables sans savoir dans la majeure partie des cas  comment étaient utilisées ces subventions et par qui. Hier, l’Etat contribuait a financer le loisir de certains particuliers par ailleurs relativement aisés ( on a rarement vu des SMICARD s'adonner à l’élevage du cheval comme loisir).   Hier on donnait des primes à un éleveur pour un classement de son cheval en épreuve d’élevage sans ce soucier de savoir si cet éleveur était un amateur pour qui l’élevage du cheval est un loisir ou un professionnel pour qui le cheval est une activité économique vitale.   Demain on peut espérer un recentrage de ces subventions sur les professionnels au même titre que dans les autres filières d’élevage. Dans son rapport, l’Etat reproche une opacité totale des ventes. C'est peu de le dire !!! L’élevage du cheval par des amateurs en France a génèré un flux financier de 260 millions d'euros en 2009 (source Haras Nationaux). Ces ventes échappent dans la majeure partie des cas a toute imposition (…). »   (Communiqué)  

 « La Fédération Nationale des Éleveurs Professionnels d’équidés se réjouit que l’état Français daigne enfin se préoccuper de la filière cheval.

Il était urgent et indispensable que l’Etat français arrête cette gabegie en distribuant à tout va l'argent des contribuables sans savoir dans la majeure partie des cas  comment étaient utilisées ces subventions et par qui. Hier, l’Etat contribuait a financer le loisir de certains particuliers par ailleurs relativement aisés ( on a rarement vu des SMICARD s'adonner à l’élevage du cheval comme loisir).

 

Hier on donnait des primes à un éleveur pour un classement de son cheval en épreuve d’élevage sans ce soucier de savoir si cet éleveur était un amateur pour qui l’élevage du cheval est un loisir ou un professionnel pour qui le cheval est une activité économique vitale.

 

Demain on peut espérer un recentrage de ces subventions sur les professionnels au même titre que dans les autres filières d’élevage.

Dans son rapport, l’Etat reproche une opacité totale des ventes. C'est peu de le dire !!! L’élevage du cheval par des amateurs en France a génèré un flux financier de 260 millions d'euros en 2009 (source Haras Nationaux). Ces ventes échappent dans la majeure partie des cas a toute imposition (…). »

 

(Communiqué)

 

03/01/2011

Actualités régionales