Salon de Paris : un nouvel élan




Les coulisses de l’événement ont été largement relayées tous les jours sur les réseaux sociaux et suivies par plus de 120 000 fans qui ont montré un réel intérêt pour cet engagement digital.


La première édition du Concours Hippique Indoor de Paris a été un franc succès. 83 épreuves se sont déroulées sur les Carrières Nationale et Prestige pendant ces 9 jours, accueillant ainsi près de 2 000 engagés au total pour 7 disciplines. Parmi ces épreuves, 7 étaient dédiées au Top of CREIF, qui a ainsi permis aux meilleurs cavaliers franciliens de profiter de la qualité de la Carrière Prestige (voir pages Ile de France).


• La victoire pour la deuxième édition du concours Equi’Star de la cadette de la compétition : Charlotte Deronne, originaire de Belgique. Cette jeune cavalière de 10 ans aura la chance de se produire l’an prochain à l’occasion de la Nuit du Cheval 2017


• Une épreuve spectaculaire avec la Paris Cup d’Attelage : cette compétition a permis la confrontation de 4 équipes composées de trois attelages différents (avec un cheval, en paire et à quatre chevaux). Cette année, c’est l’équipe bleue composée de Marion Vignaud, Louise Fillon et Jean-Charles Davoust, qui remporte la compétition en menant les deux manches de bout en bout.


• L’arrivée en force des nouvelles technologies aux Trophées de l’Innovation avec le Prix du Public pour Equisense Care, objet connecté qui permet de surveiller la santé du cheval à distance. Le Trophée du Jury a quant à lui été décerné à Equimov, plate-forme web d’offre d’hébergement pour chevaux et cavaliers.


Rendez-vous en 2017 pour la 46e édition du Salon du Cheval de Paris Parc des Expositions de Paris-Nord Villepinte.





Paris by Sport





La volonté était claire : redonner au sport le rôle prédominant dans le salon de Paris. Que ce soient la voltige ou le cross durant les soirées spectacles, ou les 2 000 engagés au total pour 7 disciplines, les épreuves ont attiré un public nombreux, que l’on n’avait plus vu depuis quelques années à Villepinte.





Derby Devoucoux de Paris : Dufresne et son Looping


Victoire du beau gris anglo-arabe Looping De Buissy (Quercus du Maury, AA x Alban A) dans le cross indoor de Paris, avec le Francilien Sidney Dufresne. L’Anglo-Arabe, né chez Cendrine Dutrait, deuxième du Grand Complet du Pin cette année, sera le meilleur à disputer cette épreuve calquée sur le Derby de Bordeaux.


Il partage cet exploit avec le champion olympique Mathieu Lemoine/Roscanvel Champeix (Capricieux des Six Censes), né chez Hélène Hermann. Troisième, le Néerlandais Tim Lips/Vakarlos,


A la suite du spectacle donné par Mario Luraschi et le Cadre Noir de Saumur, le Devoucoux Derby Indoor participait à cette volonté d’allier sport et spectacle, qui donne le ton de la nouvelle direction donnée au salon du cheval. Pari gagné.





Coupe du Monde de Voltige : victoire de Clément Taillez


Le Master International de Voltige, deuxième étape du Circuit Coupe du Monde de la FEI, s’est tenu, pour la sixième fois, au salon du Cheval de Paris. Sachant que la finale se tiendra à Dortmund, en Allemagne, en janvier prochain, l’enjeu était important. En ouverture de la Compétition, Nicolas Andreani, Champion du Monde 2012 et vainqueur du circuit Coupe du Monde 2013 et 2014, a présenté un numéro libre et inédit sur le thème marin.


En pas de deux, Lucie et Simon Chevrel s’imposent avec Sweetie de la Fosse, longé par Françoise Sivar, face à un seul autre couple, les Suisses Zoé Maruccio et Zyra Schmid, avec Caramel Z, longé par Mickaël Heuer.


Chez les hommes, Clément Taillez s’impose avec Dyronn, longé par Cédric Cottin, jugé à une moyenne générale de 8,54 %, largement devant le deuxième, le Suisse Lukas Heppler/Edmonton (Longeur : Koen Akkerman), 7,66. Troisième, le Hongrois Balazs Bence/Edmonton (Koen Akerman), 7,57. Vincent Haennel et Théo Denis sont respectivement aux 4e et 5e places.





CDI2* : dominations néerlandaise et belge


La première journée du Concours International de Dressage 2* et Jeunes a permis à plus de 20 cavaliers de fouler la piste de la Carrière Internationale (hall 5b) pour la première édition de cette compétition au Salon du Cheval de Paris.


Du côté du CDI 2*, c’est la cavalière néerlandaise Saskia Maertens qui a pris la tête de l’épreuve Saint Georges. Avec la complicité et l’élégance de son cheval Legend of Loxley, elle obtient une moyenne de 70,7010 %. Une autre cavalière néerlandaise, Jessica Leijser, accompagnée de Winando, à la seconde place, avec 69,8240 %, complète le podium de cette première épreuve. Le Royaume-Uni figure sur la troisième marche, avec Ellen Mccarthy et Chacha Time, qui terminent leur reprise avec 68,2010 %. La meilleure cavalière française, Charlotte Chalvigna, se place en 6e position, en selle sur Divina, et obtient une moyenne de 35,5260 %.


Pour les jeunes cavaliers du concours de dressage, c’est la Belgique qui s’impose grâce à Antonia Arl et Equestricons Duke de Niro et leur note de 65,3330 %. La France, quant à elle, truste les deux autres marches du podium avec, à la seconde place, Mathis Portejoie et Aristo W avec la moyenne générale de 64,3750 %, et Caroline Dufil et Ardante en 64,1660 %.





Trophées de l’Innovation


Les Trophées de l’Innovation sont un véritable tremplin pour les entrepreneurs, les créateurs et les inventeurs au service de la filière équine. Le Trophée du Jury a été remis à la start-up Equimov. Equimov est une plateforme web qui apporte un soutien aux structures équestres en leur donnant une visibilité inédite de l’ensemble des offres d’hébergements pour les chevaux et leurs cavaliers le temps d’un concours par exemple.





Jessica Gordon : « L’objectif, c’est de donner envie


aux visiteurs du Salon »








Le Cheval : « Vous êtes arrivée à ce poste en mars dernier. Quels changements avez-vous mis en place en peu de temps ? »


Jessica Gordon : « Depuis 2012, j’étais chargée de la coordination événementielle et de la logistique pour Comexposium, organisateur du Salon. J’ai donc pas mal échangé avec les exposants. J’étais tellement motivée par ce que j’avais entendu. L’objectif était de présenter une copie convaincante, d’améliorer l’ergonomie du Salon, entre autres. Voilà le challenge et cela a convaincu. Le Salon ressemblait un peu à une machine endormie, il fallait du changement ».





LC : « Quels sont les nouveautés de l’édition 2016 ? »


JG : « L’idée était de travailler pour le cheval, de servir la filière. Cette année, on voulait mettre le sport en avant. Le Derby Devoucoux a lieu pour la première fois cette année. Il y avait aussi l’Indoor de Paris de CSO, le dressage, le horse-ball (Pro Elite féminin), le Master de voltige, l’attelage, l’équitation western et le Championnat du monde du Cheval Arabe. Quant aux Longines Masters, Christophe Ameeuw l’organisateur, est tout simplement extraordinaire, il «envoie des paillettes» et bouscule les codes ! »





LC : « Le nombre de visiteurs est en baisse depuis plusieurs années. Comment allez-vous remonter la pente ? »


JG : « Les visiteurs sont toujours là. D’après les chiffres de l’année dernière, 75 000 personnes sont venues malgré des circonstances exceptionnelles (Les attentats du 13 novembre et les restrictions de circulation dues à la tenue de la Cop 21, ndlr). Les éleveurs voient toujours le verre à moitié vide, non il faut voir des signes encourageants ! Les équipes se sont lancées corps et âmes et ont senti que les choses bougeaient. Sans compter Equidia qui a retransmis en live-streaming 90 heures de compétitions amateurs en direct, cela a mobilisé tout le monde »





LC : « Les éleveurs, vous en parliez tout à l’heure, comment les attirer de nouveau ? »


JG : « J’ai convaincu les éleveurs de montrer leurs chevaux sur de petits terrains en 20x30 : on pouvait susciter plus facilement le coup de cœur. On a souhaité développer ce secteur en organisant des ventes de chevaux de sports. L’an dernier, 26 chevaux ont été présentés. Cette année 56 équidés étaient inscrits, pour cela il n’y a pas de secret, le prix a été réajusté : 250 euros par box pour 9 jours. On a travaillé aussi avec les professionnels de la filière, comme Pascal Cadiou président de l’ANSF, de retour au Salon. On espère s’ouvrir au monde des courses ».





LC : « Qu’avez-vous prévu pour l’édition 2017 ? »


JG : « Plusieurs événements sont en projet très avancé : le dressage 2 étoiles et Jeunes Cavaliers, le reining (Jessica Gordon est une ancienne cavalière de reining, ndlr), on va faire revenir la discipline sur une vraie carrière. Le programme Equistar sera reconduit. On espère une augmentation du nombre de visiteurs : 130 000 cette année, puis 150 000 en 2017 et approcher les 200 000 personnes d’ici 3 ans ».





Wathelet et sa pépite d’Eldorado





« On court tous après des victoires pareilles, commentait-il, visiblement ému. J’aime aller vite. Eldorado van het Vijverhof est très bien depuis quelques semaines; aujourd’hui, il a été tout simplement parfait et j’ai eu la chance avec moi ! »


Uliano Vezzani avait tracé un parcours aéré et galopant, mais très gros, et les deux triples en fin de parcours en piégèrent beaucoup. Seuls huit d’entre eux accédèrent au graal, le barrage. Seul Français, Simon Delestre et Chesall Zimequest, à la suite de Scott Brash/Hello Guv’Nor (alors que tous les autres tricolores se sont fait piéger), boucle un parcours parfait. Face à lui, trois Belges : Grégory Wathelet/Eldorado van het Vijverhof, Niels Bruynseels/Cas de Liberte et Nicola Philippaerts/H&M Harley v. Bisschop. La Belgique, patrie de Christophe Ameeuw et sa société fondatrice et organisatrice EEM, avait décidé de jouer un rôle majeur. Le vétéran John Whitaker et Ornellaia trépignent, mais leur parcours sans-faute n’est pas assez rapide, c’est une 4e place. Lorsque les trois meilleurs ont bouclé leur parcours (Grégory Wathelet, l’Irlandais Bertram Allen et Daniel Deusser, respectivement à 41’’86, 42’’08 et 43’’81), ils restent tendus, dans leurs trônes de velours EEM : un cavalier est encore en lice, et il est extrêmement rapide avec sa vedette, Chesall Zimequest, c’est Simon Delestre. Qui entame son parcours rapide, très rapide, et Chesall répond. Les deux doubles sont avalés avec aisance. A la sortie du deuxième, une boucle serrée avant le gros oxer de la laiterie de Montaigu. Et Chesall pile. Si Simon le reprend et termine son parcours sans-faute, ce sont quatre points et beaucoup de temps perdu. C’est la 7e place. Grégory Wathelet respire. Il a gagné. Bertram Allen garde sa deuxième place, avec un autre étalon belge, 9 ans, Hector Van d’Abdijhoeve (Cabrio Vd Heffinck) et Daniel Deusser la troisième place sur le podium grâce à une autre Belge, Equita van’t Zorgvliet, fille de Cassini I, et de la même lignée maternelle que Eldorado, Darco. Triple victoire donc pour les chevaux belges !


Daniel Deusser, vainqueur du Longines Grand Prix de Los Angeles, a raté sa deuxième victoire d’étape successive et se prive du super bonus d’un demi million d’euros. Le nouveau prétendant est Grégory Wathelet. S’il réussit l’exploit de s’imposer à Hong Kong le 12 février 2017 et à Los Angeles début septembre 2017, il recevra le Grand Slam Bonus d’1 000 000 € pour trois victoires consécutives à cheval sur deux saisons.





Maëlle Martin


La meilleure perf tricolore après celle de Simon vient de Maëlle Martin/Giovanni de la Pomme qui boucle un très tour à 4 pts. Maëlle a fait démonstration de son talent, une fois de plus. Il va falloir vraiment compter avec elle dorénavant.


Eldorado van Het Vijverhof à huit ans s’offre le CSI 2* Dunkerque. A neuf ans, il se fait remarquer sous la selle du Colombien Dayro Arroyave, 3e au petit Grand Prix du CSI5*-W de Malines. Puis ce sera une victoire au CSI** d’Opglabbeek. Et les Sires of the World la même année. Gregory Wathelet récupère l’étalon belge à dix ans, propriété de Daniel Demartin. Il reçoit le label Elite des étalons du BWP comme Bacardi-Rhum de Muze, Erco van ‘t Roosakker, Eldorado vh Vijverhof, et Pommeau du Heup. A Equita’Lyon, il remporte l’Equita Masters, première victoire 5*. Gregory Wathelet ajoutait une belle recrue à son piquet de chevaux....on ne savait pas encore à quel point.





Au fil du tapis rouge ...





Laiterie de Montaigu Trophy : Maëlle Martin !


Le Grand Prix Laiterie de Montaigu, une 1,50 m à barrage, va réserver son lot de surprises : sur 47 couples internationaux, seuls quatre accèdent au barrage. Quatre dont Maëlle Martin et son fantastique Giovani de la Pomme. L’Italien Lorenzo de Luca/Limestone Grey remporte en 34’’06 le barrage, devançant de peu le Marocain Abdelkebir Ouaddar/Quickly de Kreisker en 34’’67. Le vieux briscard John Whitaker est troisième, quatre secondes plus lent avec Argento. Maëlle Martin rate le podium de moins d’une seconde. Après le Grand Prix Grand National de Tours-Pernay, Massongy et le Grand Prix du Meeting d’Automne*** de St Lô, sans oublier sa deuxième place du CSI5* de Lausanne et au CSI5* de Stuttgart, le couple qu’elle forme avec son étalon - belge, mais né dans le Calvados - Giovani de la Pomme (Shindler de Muze, sBs) semble ne pas pouvoir arrêter sa progression.





Speed Challenge : Staut


Le champion olympique par équipes Kevin Staut s’est imposé le vendredi lors du Speed Challenge, l’épreuve de vitesse imaginée par Christophe Ameeuw. Kevin Staut montait Elky van het Indihof HDC, jument belge, fille de Toulon par Thunder Vd Zuuthoeve. Sur un parcours original du chef de piste italien Uliano Vezzano, il a devancé en 61’’81 Julien Epaillard/Cristallo A LM (64’’80) et WcLain Ward (USA)/Malou, troisième (65’’53).





Gold Cup : la beresina


La Gold Cup fut interminable le samedi soir... Steve Guerdat/Albfuehren’s Happiness, sa jument de 10 ans, petite-fille de Heartbreaker et d’une mère par Lambrusco Ask, étonnante de légèreté et de fraîcheur, va tout donner, et l‘emporter, lors d’un barrage qui faisait figure de seconde manche, avec vingt-trois couples, dont sept Français ! Le public se prit à rêver. Mais non, il était écrit que cette année ne serait pas un grand crû français à Villepinte. Les deux champions olympiques Kevin Staut et Ayade de Septon, et Philippe Rozier avec Unpulsion de la hart connaîtront la même déconvenue, face au refus de leur cheval, et Ayade de Septon précipitera même Kevin dans le mur « We Ride The World ». Une mauvaise blague.


Steve Guerdat sera le plus rapide, et de loin. Deuxième, Daniel Deusser le suit à deux secondes, avec Sweet de Beaufour, son Sf né chez Eric Levallois, fils de Diamant et d’une mère par Kannan. Le Liégeois Jérôme Guéry le suit avec son bel étalon gris Alicante (Casall Ask); il s’en fallut d’une foulée...





Guillon/Serise du Bidou


Olivier Guillon et Serise du Bidou, après avoir remporté le CSI2* de Lyon, remportent la première épreuve du CSI2* à 1,45 m le jeudi 1er décembre. Il faut souligner sa belle performance, au vice-champion du monde avec l’équipe de France, puisque le lendemain il remportait le Direct Matin TrophyCSI2* avec Borona (Upgrade), belle jument noire hollandaise de 10 ans, face à cinquante autres couples. Il signera dans le Grand Prix Trophy sa troisième victoire, dans une ambiance matinale le samedi matin, avec la même demoiselle. Dans une épreuve sans option juge de paix, qui obligeait donc pour gagner à avancer et à serrer les courbes d’un bout à l’autre, il signe son troisième succès de ce Longines Masters de Paris - le second avec Borona. Cette dernière termine sa saison en beauté, après une victoire à Equi Seine, une deuxième place à Equita sur une 1,35 m, sa plus belle entrée en matière restant une 3e place au CSI4* de Valence, lors de la puissance.





Land Rover GP : Foutrier


Le petit Grand Prix, une 1,45 m/1,50 m avec barrage, la finale des épreuves Prestige de ces 4 jours, va consoler quelque peu les Frenchies, même si les deux chevaux en tête sont...belges ! Quarante-cinq couples au départ n’empêcheront en effet pas la victoire de Guillaume Foutrier/Isperado van het Wingerd Hof, jeune hongre belge de 8 ans (Numero Uno x Artos Z) devant Nicolas Delmotte/Ilex VP, autre jeune Belge de 8 ans, étalon celui-là, fils de Diamant et d’une mère par Darco (8e au Grand National de Compiègne au mois d’août, après une victoire au CSI** de Fontainebleau) dont Nicolas prédit un bel avenir. La Belge Gudrun Patteet/Sea Coast Coco Berlini est troisième. Alexandra Francart/Quelstar du Vic Bilh, est sixième, septième place pour Marie Sapin/Fioretta van T Eigenlo, toujours double sans-faute.





Nina, dans les étoiles


Elle avait des étoiles plein les yeux, Nina Mallevaey. A seize ans, côtoyer au paddock les plus grands champions c’était déjà incroyable. Mais participer à la même épreuve qu’eux, et partager le podium avec Pius Schwizer et Bosty, c’est un rêve. Cette épreuve Masters Open, une vitesse 145, va offrir à la jeune fille deux fois championne d’Europe par équipe -children et poneys-, et championne de France des cavalières, la troisième place sur le podium. Parti en numéro un, Pius Schwizer avec Balou Rubin R bouclait avec son habituelle maîtrise un parcours d’une rapidité qui s’est révélée inégalable. Il devance de plus de cinq secondes Bosty, qui n’est pourtant pas connu pour traîner en chemin. « C’est mon premier concours avec Tesway de la Batia, un nouveau cheval, que j’ai décidé d’amener au dernier moment, expliquait le champion olympique. Du coup, voyant que Pius était imbattable, j’ai visé la deuxième place. » Mission accomplie.





Pro-Am for Charity presented by Hyatt


En point d’orgue du samedi, une autre épreuve emblématique du Longines Masters de Paris, la Pro-Am for Charity présentée par Hyatt. Thèmes, costumes, mise en scène, accessoires : les équipes rivalisent d’originalité pour séduire les juges et le public. Côté style, la victoire est revenue à l’équipe du champion olympique Philippe Rozier et de Tamara Zahid, très inspirés par le thème de Noël. Les poulets de Nicolas Canteloup et Marc Dilasser pour Europe 1, et les prouesses de Pénélope Leprévost à shetland et en cow-boy, ont eu notre préférence. Sur la piste, c’est la fougue de Jérôme Guery et l’audace époustouflante de la toute jeune (mais déjà championne) Camille Condé-Ferreira qui ont triomphé sur le thème de Blanche Neige.