Rosières : où on reparle du projet d’Henri Prudent

Ce n’est un secret pour personne : le département de Meurthe-et-Moselle, propriétaire du haras national de Rosières cherche à se débarrasser de cet héritage trop coûteux à entretenir et qui n’a pas trouver sa véritable vocation. Henri Prudent et son épouse avaient, au début des années 2000, fait une proposition d’acquisition de ce site au moment où les Haras nationaux commençaient à lâcher prise. Proposition qui avait provoqué une levée de boucliers de la part de certains éleveurs qui considéraient que ce territoire arrosé d’argent public était un peu le leur. Gérard Farcy, alors directeur s’était opposé catégoriquement à cette transaction.


Le département a proposé le site, hors PH,L, à la Région pour l’euro symbolique, laquelle Région a à nouveau sollicité les Prudent. Les discussions sont actuellement en cours et il est permis de penser que l’issue « franco-américaine » ne saurait tarder.