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L’élevage du Vieux Noyer change de mains

« Un peu de lassitude, des situations compliquées pour la transformation des produits, pas de repreneur dans ma famille » ce sont les raisons qu’invoque Michel Aubertin, l’éleveur de Champagne Ardenne, pour expliquer sa décision de transmettre son patrimoine génétique à Michel Guiot, l’éleveur-étalonnier  du haras de Talma, actif président de l’ARDCP. Les deux éleveurs se connaissent bien et travaillent ensemble depuis longtemps dans une même communauté d’idées. Quatre souches constituent cet élevage de référence démarré en 1987 par le dentiste de Châlons-en-Champagne avec Fanny du Murier, son premier « foal Charring ». Quatre souches correspondant à quatre affixes : Toscane, Andalouse, Islande et Rose. De très bons chevaux sont sortis de cet élevage : Karla de Toscane, championne des 7 ans avec Nicolas Delmotte, gardée à l’élevage, Pirate Andalou, Jadis de Toscane et son propre frère Rahotep, deux Quidam-Laudanum, propriétés de Christian Baillet et confiés à Philippe Rozier pour le plus haut niveau. Michel Aubertin fut toujours un ardent partisan du sang franco-français ; Il est particulièrement heureux des croisements réalisés avec Quidam et Baloubet sur Fanny du Murier, morte l’année dernière. Avec Baloubet, elle lui laisse deux gris, un mâle et une femelle sur lesquels de grands espoirs sont fondés. Michel fut, à plusieurs égards un précurseur et un novateur notamment dans les nouvelles techniques de reproduction expérimentées au haras de Montier-en-Der. « Je me réserve la possibilité de faire un transfert de temps en temps, pour le plaisir. Mon élevage reste en Champagne-Ardenne, c’est important pour moi ». Une trentaine de chevaux vont donc passer sous la bannière du haras de Talma. Michel Aubertin ne tourne pas la page élevage pour autant, il poursuit ses responsabilités dans le domaine associatif en Champagne Ardenne comme au niveau national (président du Conseil des chevaux) et reste partenaire d’une société propriétaire d’étalons. E. R. Changement de cavalier au haras de Vulsain depuis le début de l’année : Florent Jannin, installé précédemment aux écuries de Flacey (21) vient de se voir confier la gestion de la carrière sportive des étalons de François Lévy.

« Un peu de lassitude, des situations compliquées pour la transformation des produits, pas de repreneur dans ma famille » ce sont les raisons qu’invoque Michel Aubertin, l’éleveur de Champagne Ardenne, pour expliquer sa décision de transmettre son patrimoine génétique à Michel Guiot, l’éleveur-étalonnier  du haras de Talma, actif président de l’ARDCP. Les deux éleveurs se connaissent bien et travaillent ensemble depuis longtemps dans une même communauté d’idées. Quatre souches constituent cet élevage de référence démarré en 1987 par le dentiste de Châlons-en-Champagne avec Fanny du Murier, son premier « foal Charring ». Quatre souches correspondant à quatre affixes : Toscane, Andalouse, Islande et Rose. De très bons chevaux sont sortis de cet élevage : Karla de Toscane, championne des 7 ans avec Nicolas Delmotte, gardée à l’élevage, Pirate Andalou, Jadis de Toscane et son propre frère Rahotep, deux Quidam-Laudanum, propriétés de Christian Baillet et confiés à Philippe Rozier pour le plus haut niveau. Michel Aubertin fut toujours un ardent partisan du sang franco-français ; Il est particulièrement heureux des croisements réalisés avec Quidam et Baloubet sur Fanny du Murier, morte l’année dernière. Avec Baloubet, elle lui laisse deux gris, un mâle et une femelle sur lesquels de grands espoirs sont fondés. Michel fut, à plusieurs égards un précurseur et un novateur notamment dans les nouvelles techniques de reproduction expérimentées au haras de Montier-en-Der. « Je me réserve la possibilité de faire un transfert de temps en temps, pour le plaisir. Mon élevage reste en Champagne-Ardenne, c’est important pour moi ». Une trentaine de chevaux vont donc passer sous la bannière du haras de Talma.

Michel Aubertin ne tourne pas la page élevage pour autant, il poursuit ses responsabilités dans le domaine associatif en Champagne Ardenne comme au niveau national (président du Conseil des chevaux) et reste partenaire d’une société propriétaire d’étalons.

E. R.

Changement de cavalier au haras de Vulsain depuis le début de l’année : Florent Jannin, installé précédemment aux écuries de Flacey (21) vient de se voir confier la gestion de la carrière sportive des étalons de François Lévy.

27/02/2014

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