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Edouard Couperie seul sans-faute
Grand National CSO Le Mans (72) 28-30 août Le breton Jean le Monze puis Raphael Goehrs avaient brillé lors des deux épreuves phares des premiers jours. Quelques heures avant le Grand National, Eugénie Angot puis Max Thirouin avaient fait de même.Alors motivés, ils étaient prêts
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à renouveler la bonne opération dans le Grand Prix de la Sarthe, support de la dernière étape du Grand National.
Mais le chef de piste, Yann Thomas allait dessiner un parcours des plus techniques. Il regroupait tout l’arsenal possible pour sélectionner les couples les plus en forme pour le barrage.
Alors triple, rivière et autres oxers et verticaux culminant à 1,50 mètres étaient judicieusement placés et allaient assurer le spectacle. Pour compléter le tout, le temps de 78 secondes, soit 475 mètres par minute allait obliger les couples à galoper. Mais les inciter aussi à la faute.
Les premiers couples essuyaient donc les plâtres. Eugénie Angot/Lothian des Hayettes, Bruno Broucqsault/Nice de Prissey ou bien Jérôme Hurel/Limex étaient de ceux-là. Exit aussi Michel Hécart/Myself de Brève.
Igor Kawiak, vice-champion d’Europe avec Victory vt Hazelarenhoekj était le premier à réussir le sans-faute. Mais son chronomètre de 80’’07 le privait de barrage. Derrière le Normand Xavier Vacher/Haram d’Auvers et Bertrand Pignolet avec ses deux montures (Nippon d’Elle et Magic d’Elle) parvenaient à sortir sans pénalité de barre. Mais pour quelques centièmes, les deux cavaliers ne pouvaient prendre part au barrage.
Car avec le dossard 57, Edouard Couperie allait sur un rythme soutenu assuré. « J’ai eu la chance de partir dans les derniers. J’ai donc eu le temps d’étudier le parcours de mes adversaires. Et pointer les obstacles les plus fautifs. Il n’y avait pas d’option et le temps était court ».
En 75’’83, le cavalier portant les couleurs Pikeur bouclait son tour. Et sans le moindre point de pénalité. Une maîtrise du temps parfaite qui lui ouvrait les portes de la victoire. « Je suis très satisfait. Storm est un étalon italien que j’ai dans les écuries depuis peu. Il a bien sauté à Auvers. Et semble avoir du potentiel. Il apprend son métier sur le Grand National. Dans un proche avenir, je vais l’engager sur les concours trois et quatre étoiles ».
Edouard Couperie remportait donc la dernière étape du Grand National, et permettait à son écurie Pikeur de marquer des points. Et de conserver le trophée de la Sarthe. Puisque l’année passée, c’est son coéquipier Philippe Rozier qui l’avait emporté devant Simon Delestre et Jean-Marc Nicolas.
Pour le classement final du Grand National, Michel Hécart (Théault) parvenait à conserver sa seconde place. Simon Delestre (Groupe Dallamano) ne réussissant pas à prendre une place d’honneur.
Sébastien Proust
Mais le chef de piste, Yann Thomas allait dessiner un parcours des plus techniques. Il regroupait tout l’arsenal possible pour sélectionner les couples les plus en forme pour le barrage.
Alors triple, rivière et autres oxers et verticaux culminant à 1,50 mètres étaient judicieusement placés et allaient assurer le spectacle. Pour compléter le tout, le temps de 78 secondes, soit 475 mètres par minute allait obliger les couples à galoper. Mais les inciter aussi à la faute.
Les premiers couples essuyaient donc les plâtres. Eugénie Angot/Lothian des Hayettes, Bruno Broucqsault/Nice de Prissey ou bien Jérôme Hurel/Limex étaient de ceux-là. Exit aussi Michel Hécart/Myself de Brève.
Igor Kawiak, vice-champion d’Europe avec Victory vt Hazelarenhoekj était le premier à réussir le sans-faute. Mais son chronomètre de 80’’07 le privait de barrage. Derrière le Normand Xavier Vacher/Haram d’Auvers et Bertrand Pignolet avec ses deux montures (Nippon d’Elle et Magic d’Elle) parvenaient à sortir sans pénalité de barre. Mais pour quelques centièmes, les deux cavaliers ne pouvaient prendre part au barrage.
Car avec le dossard 57, Edouard Couperie allait sur un rythme soutenu assuré. « J’ai eu la chance de partir dans les derniers. J’ai donc eu le temps d’étudier le parcours de mes adversaires. Et pointer les obstacles les plus fautifs. Il n’y avait pas d’option et le temps était court ».
En 75’’83, le cavalier portant les couleurs Pikeur bouclait son tour. Et sans le moindre point de pénalité. Une maîtrise du temps parfaite qui lui ouvrait les portes de la victoire. « Je suis très satisfait. Storm est un étalon italien que j’ai dans les écuries depuis peu. Il a bien sauté à Auvers. Et semble avoir du potentiel. Il apprend son métier sur le Grand National. Dans un proche avenir, je vais l’engager sur les concours trois et quatre étoiles ».
Edouard Couperie remportait donc la dernière étape du Grand National, et permettait à son écurie Pikeur de marquer des points. Et de conserver le trophée de la Sarthe. Puisque l’année passée, c’est son coéquipier Philippe Rozier qui l’avait emporté devant Simon Delestre et Jean-Marc Nicolas.
Pour le classement final du Grand National, Michel Hécart (Théault) parvenait à conserver sa seconde place. Simon Delestre (Groupe Dallamano) ne réussissant pas à prendre une place d’honneur.
Sébastien Proust
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