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Des parlementaires européens à la découverte d’un poney-club alsacien

  • De gauche à droite : Frédéric Bouix, Christiane Wurtz, Anne Sander, Jean-Paul Denanot, Nathalie Marajo-Guthmuller, Jean-Pascal Jobs et Solange Pannetier
    De gauche à droite : Frédéric Bouix, Christiane Wurtz, Anne Sander, Jean-Paul Denanot, Nathalie Marajo-Guthmuller, Jean-Pascal Jobs et Solange Pannetier
Quelques semaines après la semaine européenne du sport, avec le parrainage de Anne Sander, Députée au Parlement européen (Euro-circonscription Est), la FFE a organisé la visite d’un poney-club en présence de Angélique Delahaye et Jean-Paul Denanot, parlementaires européens élus dans la circonscription Massif Central - Centre et de

Quelques semaines après la semaine européenne du sport, avec le parrainage de Anne Sander, Députée au Parlement européen (Euro-circonscription Est), la FFE a organisé la visite d’un poney-club en présence de Angélique Delahaye et Jean-Paul Denanot, parlementaires européens élus dans la circonscription Massif Central - Centre et de Nathalie Marajo-Guthmuller, Conseillère départementale du Bas-Rhin en charge du sport, de Jean-Pascal Jobs, Président du Comité Régional d’Equitation et de Solange Pannetier, Présidente du Comité Départemental d’Equitation du Bas-Rhin. Cette rencontre a eu lieu au Poney-club et Centre équestre de la Bruche, situé à Lingolsheim, en périphérie de Strasbourg et dirigé par Christiane Wurtz.


Après la découverte des activités proposées aux jeunes cavaliers en ce mercredi après-midi, la dirigeante et Frédéric Bouix, Délégué Général de la FFE ont présenté la spécificité du modèle français de « cheval partagé » qui permet de rendre accessible l’équitation grâce à une mutualisation de la cavalerie, des installations et de l’enseignement. Ce modèle peu répandu en Europe et dans le monde est axé, au travers d’activités ludiques, sur la transmission de valeurs éducatives au contact du poney. Dernière ferme dans la ville, ce poney-club demeure, à l’image de beaucoup d’autres, une parenthèse de nature pour les pratiquants.


Afin de préserver ce modèle d’équitation, générateur en France de 35 000 emplois directs et d’un milliard d’euros de chiffres d’affaires annuel, les échanges ont porté sur les préoccupations des professionnels du secteur, parmi lesquelles la TVA, les conséquences des rythmes scolaires sur la pratique sportive et la nécessité de lever les obstacles au développement des activités équestres.


22/11/2017

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