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Chapo Gallo !

Certains l’adorent, d’autres le détestent. Jean-Paul Gallorini, que l’on croirait sorti d’un roman de Marcel Pagnol, ne peut pas faire l’unanimité, tant il est entier. Sa carrière, en revanche, ne souffre d’aucune discussion : il a marqué les courses françaises pendant près d’un demi-siècle. Alors qu’il vient d’annoncer sa retraite dans les colonnes de Paris-Turf, ce sont les multiples facettes du personnage que nous avons voulu vous dévoiler. Bienvenue dans la saga Gallorini. (Source Jour de Galop)

Jean-Paul Gallorini : « Ce n’est plus mon metier »

Comme annonce par Paris-Turf, Jean-Paul Gallorini va mettre un terme à sa carrière d’entraîneur dans quelques jours. L’homme aux plus de 3.000 succès, dont pas loin de 200 au niveau Groupe, et véritable figure de Maisons-Laffitte, ne pouvait se contenter d’une déclaration lapidaire !

« J’arrête à la fin du mois de février. Je voulais finir mes activités à Cagnes-sur-Mer. J’avais pris un jeune entraîneur qui devait venir à Cagnes avec moi avant de prendre ma succession. Tout était organisé. Nous devions partir le samedi soir et il est venu me dire qu’il ne partait plus le samedi midi. Je me suis quand même rendu à Cagnes. Mais le meeting cagnois se court en 2021 aussi. J’ai donc dû renouveler ma licence. En 2021, j’ai eu deux partants, Nil de La (Martaline) et Cocoro (Nom de d’La). Avec Nil de La, j’ai été troisième et il est passé au salivarium. Dans la même réunion, j’ai été quatrième avec Cocoro et il est passé au salivarium. J’ai dit que je ne voulais pas ternir la belle image des courses de Cagnes, j’ai appelé le transporteur et je lui ai dit de rentrer avec mes chevaux... »

Pas vraiment fini

« Madame Berger [son épouse, ndlr] s’occupe de l’élevage, il y a un peu plus de vingt poulinières. Nous avons sorti plusieurs étalons comme Ultimately Lucky, No Risk at All, Cokoriko, Villez, Nickname, Nom de d’La... Les chevaux qui partent de chez moi sont prolifiques et leurs produits gagnent des courses. Je suis très fier quand je vois des chevaux comme Cokoriko, No Risk at All et leur réussite. Je suis très fier de mon travail. La compétence, le sérieux et l’honnêteté, cela paye ! Le nom Gallorini va perdurer dans les courses, notamment avec Isabelle. Elle est très professionnelle. Je la connais bien, j’ai même connu son père, qui était pas mal ! Je pense qu’elle est meilleure que son père ! » 

Jadis, Maisons-Laffitte...

« Je n’ai aucune jalousie. Aucun regret. Mais le centre d’entraînement de Maisons-Laffitte et son hippodrome n’ont plus du tout l’image que j’ai connue dans les années 60. J’ai connu les Head à Maisons-Laffitte, j’ai connu les pistes à Achères, Saint-Germain, des chevaux à Poissy, au Mesnil-le-Roi, et plus de 2.000 chevaux à Maisons-Laffitte. Maintenant, c’est un petit noyau dans le parc et

on nous a enlevé Penthièvre. Ce n’est plus mon métier. Les courses n’ont pas échappé à la mondialisation et à la décentralisation... Auparavant, les présidents comme Breil, Chaudenay, le marquis de Joffre, les Wildenstein, les Wertheimer et les Aga Khan avaient tous des chevaux à Maisons-Laffitte... Bien sûr, on a gagné des courses à Maisons-Laffitte depuis que l’hippodrome et Penthièvre ont fermé. Mais il faut analyser : quels sont les entraîneurs qui ont gagné et quelles catégories de courses ? »

Jean-Paul Gallorini, le polymorphe

Véritable figure des courses, à mi-chemin entre les personnages de Michel Audiard et ceux de Marcel Pagnol, Jean-Paul Gallorini a eu une carrière trépidante dont le "scénario" contient tous les ingrédients pour faire un bon roman.

L’apprenti

Né à Marseille, Jean-Paul Gallorini a pris la voie des courses à 14 ans.
« Je vivais en banlieue marseillaise. Nous connaissions simplement le cheval de trait. Un noble, le comte de Beaumont, habitait un petit château à côté de chez nous. Tous les dimanches matin, nous regardions les chevaux passer devant chez nous. Des magnifiques chevaux avec des selles et des brides d’un luxe absolu. Un beau jour, monsieur Rivet est venu s’installer dans une propriété, La Louise, près de chez nous. Tous les mercredis, j’allais chez lui pour discuter et voir les chevaux dans son club hippique. Monsieur Rivet était le beau-père d’Étienne Modena, l’un des grands jockeys de Marseille. Dans son club, il y avait un palefrenier qui avait été jockey. C’est lui le premier qui m’a amené sur l’hippodrome du Pont-de-Vivaux. Je n’avais jamais vu cela... Cela m’avait impressionné ! Le temps a passé. J’ai quitté l’école à 14 ans et demi. Mon beau-frère, qui est décédé maintenant, est allé faire une maison à Bonneveine. C’était le Maisons-Laffitte de Marseille. Tous les matins, je voyais les chevaux et j’étais émerveillé. Je me levais à deux heures du matin pour aller à Bonneveine. Je prenais le tramway de ramassage. J’arrivais au terminus et du terminus à Bonneveine, je courais. Je faisais tout à pied, je travaillais pour "pas un rond". Le matin, je me cachais dans les buissons pour suivre l’entraînement et ensuite j’allais travailler. Et un jour, j’étais sur le trottoir, un monsieur s’arrête et me demande chez qui je travaille. Je réponds que je suis maçon. Il me dit que je n’ai pas la tête d’un maçon. C’était mon patron d’apprentissage, Max Loviro.»

Le jockey

Avant d’être entraîneur, Jean-Paul Gallorini a d’abord été jockey à Marseille.
« Monsieur Loviro m’a demandé si je voulais travailler dans les chevaux, j’ai dit oui. Il m’a emmené dans son bureau. Le box qui jouxtait son bureau était celui d’un cheval qui s’appelait Clinton. J’ai débuté un an et demi après avec ce cheval, au Pont-de-Vivaux et j’ai gagné le Grand Prix des Apprentis. J’ai remporté ma deuxième course pour Étienne Modena, qui était le gendre de monsieur Rivet. Je suis passé du plat à l’obstacle à cause du poids. J’ai gagné le Grand Steeple et la Grande Course de Haies de Marseille avec Ballon Rouge, qui a appartenu à madame Del Duca, puis à Bechir ben Rade lorsque je le montais. Et j’ai aussi gagné pour la casaque Sagara, pour le grand-père Gabeur, avec un cheval qui s’appelait Vertigo. Il était entraîné par Gustave Couétil à Maisons-Laffitte. À Marseille, j’étais apprenti, je gagnais des courses, mais à cette époque-là, on était payé de gré à gré. Il fallait payer des impôts sur ce qu’on n’avait pas encore touché. Je suis allé voir le percepteur qui m’a dit de me débrouiller. J’ai donc demandé à mon patron d’être payé et il m’a dit : "En plus de monter, tu veux de l’oseille ?" Il ne m’a ensuite plus fait monter. »

Le disciple

Jean-Paul Gallorini a alors fait le chemin entre Marseille et Maisons-Laffitte en 1963, et il y est installé depuis quarante ans.
« J’avais un membre de ma famille qui connaissait bien André Adèle. Il me l’a présenté à Cagnes-sur-Mer. Quand je suis rentré de Cagnes, fin février, je suis allé à Maisons-Laffitte. Messieurs Tardy et Negrel ne cessaient de me parler de ce lieu. C’est un bon souvenir car lorsque je suis arrivé à la gare de Lyon, à Paris, la première personne sur laquelle je suis tombé, c’était Franck Fernandel. Je suis allé lui dire bonjour, il m’a répondu qu’il me souhaitait beaucoup de réussite. Je suis arrivé dans l’écurie Adèle, il y avait sept cours, 200 chevaux, nous étions 85 à cheval ! Je ne comprenais rien.

Mais il fallait que je comprenne parce que cela faisait 25 ans qu’il était tête de liste. Les gains d’André Adèle étaient plus importants que ceux de Georges, Noël, René et Pierre Pelat. J’ai monté un peu, j’étais un petit jockey. Et puis je suis tombé au mur à Enghien, j’ai eu un grave accident, avec un cheval qui s’appelait Pupien, à monsieur Maurice Mercante. Plus tard, ce dernier m’a présenté à Prosper Elmoznino, lequel m’a emmené à Keeneland en Concorde. Cela faisait un drôle de bond pour moi, le petit Marseillais qui travaillait pour pas un sou et se retrouvait à voyager en Concorde. Nous avons acheté des yearlings à Keeneland et en Angleterre. Monsieur Wildenstein me disait à l’époque : "Mais qu’est-ce que vous avez avec la méthode Adèle ? Le meilleur c’est Georges Pelat !" Je lui ai répondu qu’il était un très grand entraîneur, mais que je ne pensais pas qu’il soit le meilleur. Pour moi, le meilleur, c’était André Adèle. Premièrement, il était très bon, car il travaillait sur la qualité, mais aussi et surtout l’aptitude. Quand il avait l’aptitude et la qualité, personne ne pouvait l’approcher. Il travaillait avec de petits chevaux, il les mécanisait bien, il leur apprenait à bien s’équilibrer et à respirer sur l’obstacle. Avec le temps et leur aptitude, il en a fait des cracks. Plus en steeple qu’en haies car l’obstacle, c’est le steeple plus que les haies. Quand il a reçu Orvilliers, bon cheval de plat, il en a fait un crack en haies. Un jour, monsieur Decrion a vendu ses chevaux. Mais monsieur Adèle a voulu que deux chevaux restent chez lui. Le lendemain, monsieur Decrion lui a demandé pourquoi ces deux chevaux qui, à 3ans, n’avaient pas couru, étaient encore là. André Adèle a dit : "Monsieur, je ne vous demande pas d’argent. Laissez ces deux chevaux-là et on verra plus tard." Ces deux chevaux étaient Yasko et Spirou... La méthode Adèle, c’est surtout respecter le cheval, ne pas aller plus vite que la musique. »

D’entraîneur sans licence...

Avec Prosper Elmoznino comme propriétaire, Jean-Paul Gallorini va vite connaître la réussite comme entraîneur. Le grand entraîneur d’obstacle Henri Gleizes va l’aider à décrocher sa licence.

« La première grande victoire que nous avons obtenue a été celle de Fontabal qui a gagné la Grande Course de Haies de Printemps (Gr3). Ensuite, nous avons eu droit à nos premières critiques. Fontabal était entraîné par l’ancien stagiaire d’Étienne Pollet. Quand ce dernier a arrêté, c’est ce stagiaire qui a pris la succession, mais il n’était pas très doué. Daniel Wildenstein, à l’époque, avait ses chevaux chez Georges Pelat. Ce dernier est décédé. Mais avant qu’il nous quitte, j’ai vu Georges Pelat à Deauville, et il m’a dit : "La famille Wildenstein, ce sont des clients importants, tu peux travailler avec." Je n’avais pas encore passé ma licence. Mes deux parrains étaient André Adèle, qui est toujours mon maître à penser, et Claude Deleuze. J’avais des chevaux, mais je ne pouvais pas avoir ma licence car je n’avais pas d’écurie. Ensuite, j’ai eu les chevaux, l’écurie, mais toujours pas de licence. Henri Gleizes me voyait le soir entraîner les chevaux sur le macadam. Un jour, il m’appelle et me dit : "Mais vous n’avez toujours pas votre licence ?" Je lui réponds que non. Il ajoute : "Je m’en occupe !" Le lendemain à 10 h, je reçois un coup de fil de la Société d’encouragement, qui me dit que je peux engager mes chevaux. C’est Henri Gleizes qui m’a fait avoir ma licence. »

... à entraîneur des plus grands

Grâce à Prosper Elmoznino, Jean-Paul Gallorini a reçu ses premiers chevaux appartenant à Daniel Wildenstein. De quoi faire monter son écurie en gamme.

« Un jour, monsieur Elmoznino m’a appelé. Il venait juste d’assister à une réception à New York et il avait vu Daniel Wildenstein. Ce dernier lui avait dit : "Je suis très embêté, je viens de perdre Georges Pelat." Et monsieur Elmoznino lui a dit qu’il connaissait quelqu’un meilleur que Georges Pelat. Il a rétorqué : "Ce n’est pas possible ! Il s’appelle comment ?" Il a dit : "Gallorini." Le lendemain, j’étais à Saint-Cloud, un monsieur est arrivé et m’a dit que Daniel Wildenstein aimerait me voir. Je suis allé le voir et il m’a dit : "Voulez-vous entraîner pour moi ? Rendez-vous demain à 10 h 15, rue de la Boétie." Je suis arrivé et Daniel Wildenstein m’a simplement dit : "Bonjour monsieur Gallorini. Je ne vous demanderai jamais de courir un cheval, mais j’ai horreur du ridicule. Demain, vous recevrez trois chevaux. Au revoir monsieur." Tout ce qui n’était pas classique venait chez moi. J’ai travaillé derrière Maurice Zilber, qui était un seigneur. Daniel Wildenstein voulait la pièce unique. Il disait : "Je n’ai pas les moyens d’avoir de mauvais chevaux." Avec les chevaux que j’achetais dans le box du boucher, je gagnais des Groupes. Quand il est arrivé des chevaux de Groupe, je n’allais pas remporter des réclamers. À l’époque, il y avait tellement d’argent dans les courses. » Au total, Jean-Paul Gallorini a décroché près de 200 victoires de Groupe !

Le précurseur

Jean-Paul Gallorini a été le premier entraîneur d’obstacle à mener une femme aux portes de la Cravache d’or. Il s’agissait de Béatrice Marie qui, à cause d’une chute, avait raté la récompense suprême. Mais grâce au professionnel mansonnien, elle avait notamment gagné la Grande Course de Haies d’Auteuil (Gr1) 1988 avec Goodea (Mister Sic Top). Jean-Paul Gallorini a également fait monter, presque à la même époque, Anne-Sophie Madeleine qu’il considère comme le meilleur jockey qu’il ait fait monter avec Vincent Cheminaud. Et c’est avec lui que Paola Beacco a remporté le Prix Bournosienne (Gr3 à l’époque) avec Princesse Kap (Kapgarde), en 2011. Au sujet d’Anne-Sophie Madeleine, il nous avait dit en 2017 : « Anne-Sophie Madeleine a été le jockey avec lequel j’ai pris le plus de plaisir à collaborer. Elle était petite, légère, bien en position. Le cheval galopait en liberté avec elle. Elle savait tout faire. J’ai aussi savouré le doublé de Gr1 de Christophe Soumillon avec Mandali et Hippomène, la victoire de Nathalie Desoutter avec Kario de Sormain alors que toutes deux débutaient sur le rail-ditch, ma collaboration avec Béatrice Marie, qui a gagné la Grande Course de Haies d’Auteuil (Gr1) avec un cheval qui venait des réclamers, Goodea, et j’ai encore en tête la monte de Christophe Pieux avec Remember Rose dans le Grand Steeple 2009, alors qu’il avait une fracture au pied. » 

L’accusé

À la fin de l’année 1981, après la victoire de World Citizen dans un handicap tiercé à Auteuil, le cheval a été contrôlé positif. Au total, près d’une dizaine de pensionnaires de Jean-Paul Gallorini l’ont été également. À l’époque, les razzias du professionnel mansonnien se sont enchaînées avec de nombreux coup de deux, trois et même six ! Il était l’entraîneur à la mode. À la suite des contrôles positifs, sa licence lui est retirée pendant un an et il reçoit une amende de 300.000 francs. Ses chevaux vont partir chez différents entraîneurs. Seul Daniel Wildenstein lui restera fidèle.

Le numéro 1

Jean-Paul Gallorini a atteint les sommets par la suite. Du Grand Steeple à la Grande Course de Haies, en passant par les Grs1 pour les 3ans et 4ans, peu de grandes courses lui ont échappé. Il a décroché le Cheval d’or des entraîneurs d’obstacle à de nombreuses reprises, notamment en 1994, 1995, 1999 et 2000. Le Graal d’Auteuil, le Grand Steeple, lui est revenu avec Chinco, Kotkijet et bien sûr Remember Rose, qui ont tous un profil complètement différent. Il a su aussi se distinguer en plat avec des Wildenstein, mais aussi No Risk at All, Ultimately Lucky, Generic...

L’entraîneur mansonnien a un talent particulier pour atteindre un objectif. L’un des exemples les plus flagrants était Remember Rose qui a toujours visé juste dans les grandes courses d’Auteuil, de 3ans à 6ans. Il a eu aussi du nez pour dénicher des chevaux dans les réclamers comme Matinée Lover, Winslow, Œil du Maître, Dindounas, une future excellente poulinière, ou encore Quarouso... Liste non exhaustive !

Il a aussi formé de futurs étalons. Parmi les plus connus, on peut citer Cokoriko, Villez, Nickname, No Risk at All, Nom de D’La, Ultimately Lucky...

Un homme de défi

Faire monter des cracks jockeys de plat en obstacle, peu d’entraîneurs l’ont fait. Jean-Paul Gallorini a fait appel à Christophe Soumillon pour se mettre en selle sur Mandali (Sinndar) et le couple a remporté la Grande Course de Haies d’Auteuil (Gr1) grâce à un joli coup tactique. Le professionnel mansonnien a aussi accueilli Thierry Thulliez et a fait monter Olivier Peslier à Auteuil, lequel avait été associé à Vaporetto (Lear Fan) dans le Prix Léon Olry-Roederer (Gr2) 1998.

Le roi de la punchline

Jean-Paul Gallorini est connu pour sa verve que l’on pourrait croire tout droit sortie des histoires de Pagnol. Voici un florilège de quelques-unes de ses meilleures punchlines. Là encore, il y en a tellement que l’on aurait pu en faire un livre !

« Bonjour monsieur le boucher, vous avez des chevaux ? Il me répondait : "Oui". Des chevaux de course ? "Oui." Je les regardais et j’en prenais certains. Je les payais 4.000 francs plus la carte de propriété, 1.000 francs. J’ai ainsi sorti des champions. »

« Je n’ai pas envie d’avancer et de réussir en marchant sur le cadavre de mes confrères. Mon rayon de soleil me suffit. Je n’ai pas besoin d’avoir le soleil et l’ombre... La richesse, ce n’est pas l’argent. »

« Dans chaque cheval et dans chaque humain, il y a toujours un potentiel qui n’est pas exploité. C’est au professionnel de regarder ce qui n’a pas été exploité. Ils n’ont pas tous le potentiel, la vitesse, l’aptitude à l’obstacle. Ils peuvent avoir toutes ou une de ces qualités. »

« Tu ne peux pas faire d’une journée de vingt-quatre heures qu’elle dure quarante-huit heures, mais tu ne peux pas faire d’économie sur le temps de travail dans l’entraînement. »

« Il ne faut pas travailler pour l’argent. Il faut travailler pour la réussite. Lorsque je gagne une course, je connais le parcours. Mais l’allocation, je ne la connais pas. Lorsque tu fais de ton loisir un métier, c’est extraordinaire ! »

(A suivre sur www.jourdegalop.com)

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